Assia Djebar, femme écrivant...

https://www.villa-amalia.fr/web/image/product.template/3038/image_1920?unique=e317d36

Éditeur : Chèvre-feuille étoilée
Autrice : Maïssa Bey

12,00 € 12.0 EUR 12,00 €

12,00 €

Not Available For Sale

  • Prix public
  • Pagination
  • Format
  • Date de sortie
  • ISBN

Cette combinaison n'existe pas.

Prix public: 12 €
Pagination: 84
Format: 13 x 18 cm
Date de sortie: Octobre 2023
ISBN: 9782367951584

Conditions générales
Garantie satisfait ou remboursé de 30 jours
Expédition : 2-3 jours ouvrables

Résumé :

«… écrire à la première personne du singulier et de la singularité, corps nu et voix à peine déviée par le timbre étranger, rameute face à nous tous les dangers symboliques. Toute femme écrivant qui s’avance ainsi hardiment, prend le risque de voir combien son chemin est miné. »

Assia Djebar se présente comme une femme écrivant dans cet extrait de Ces voix qui m’assiègent. Elle a fait très tôt irruption dans la vie de lectrice de Maïssa Bey qui lui a adressé son premier roman avec cette dédicace.


Maïssa Bey nous livre dans ce recueil, son rapport intime à cette figure majeure de la littérature algérienne de langue française et montre combien son oeuvre est liée à l’histoire et à l’évolution de cette société.

« Sous prétexte de fiction romanesque, Assia Djebar forçait les portes et les fenêtres aux volets clos des maisons en apparence silencieuses et repliées sur elles-mêmes, entrait et nous faisait entrer dans l’intime des femmes, de ces femmes reléguées, recluses, assignées à résidence depuis leur naissance ou presque. Elle disait leurs rêves bâillonnés, leurs désirs, leurs espoirs et leurs renoncements, mais elle disait aussi la volonté de certaines d’entre elles de franchir les seuils, de s’ouvrir au monde. »


L'autrice :

Maïssa Bey, romancière, nouvelliste, dramaturge et conférencière, est née et habite en Algérie.

Ses livres sont édités à la fois en France et en Algérie et traduits en plusieurs langues (anglais, allemand, arabe, italien, suédois, néerlandais). Plusieurs de ses romans ont fait l'objet d'adaptations théâtrales par des metteurs en scène français et algériens.

Lauréate de nombreux prix littéraires en France, dont le Grand prix de la nouvelle de la Société des Gens de Lettres en 1998, elle a également été distinguée par le Prix des Libraires Algériens en 2005 pour l’ensemble de son œuvre. Maïssa Bey a reçu en 2008 le premier Grand Prix du Roman de Langue Française du SILA (Salon International du Livre d’Alger) pour Pierre Sang Papier ou Cendre. Son roman Puisque mon cœur est mort, a reçu en 2011 le prix Maghreb Méditerranée de l’ADELF.